Luigi Pirandello

Masques sur masques, j’ai passé une vie à ôter les visages figés de mes personnages, révélant le jeu déroutant des identités derrière chaque façade humaine.

Demandez-moi comment six personnages errent à la recherche d’un auteur, pourquoi Vitangelo Moscarda se voit éclaté en un, en personne, et en cent mille, ou où la frontière s’efface entre le rire et le désespoir.

Si la vie n’est qu’une représentation, la mienne est un art du questionnement—toujours changeant, toujours incertain, éternellement sicilien.